Affaire d’Assassinat du député provincial Albert Nsimba Sukami Nzunzu à Matadi au Kongo Central.
La presse a foulé aux pieds toutes les règles du noble art. Quatrième pouvoir dans toutes les démocraties, la presse rdc-Congolaise a failli dans sa mission, jetant aux pourceaux toutes les règles déontologiques de bonne moralité, prenant parti sans aucune responsabilité du camp de celui qui visiblement les ameuterait à qui
La presse a foulé aux pieds toutes les règles du noble art. Quatrième pouvoir dans toutes les démocraties, la presse rdc-Congolaise a failli dans sa mission, jetant aux pourceaux toutes les règles déontologiques de bonne moralité, prenant parti sans aucune responsabilité du camp de celui qui visiblement les ameuterait à qui mieux mieux, se sentant pris dans un nouveau scandale où il ne s’agirait plus de sextape dont il est le commanditaire incontesté, mais d'une mort d’homme. « Coupages » quand tu nous tiens!
Le ci-devant député provincial, siégeant comme suppléant du gouverneur déchu, Albert Nsimba Sukami Nzunzu président du groupe parlementaire PPRD assassiné, en pleine nuit devant toute sa famille, par des hommes cagoulés envoyés pour assouvir les desseins funestes d’un commanditaire Proconsul devant dieu le fils et dieu le père spirituel et devant qui rien ni personne ne peuvent tenir. Mais qui diantre l'aura fait dieu ?
Lorsque meurt à Kinshasa début juin 2010 le célèbre Secrétaire Exécutif de la Voix des Sans Voix Floribert Chebeya Bahizire d’illustre mémoire dans les locaux de l’Inspection Générale de la Police Nationale Congolaise à Lingwala, Secret de Polichinelle on s’en souvient, l’alerte est lancée en prime par le tonitruant correspondant de Radio France Internationale, Baudouin Kamanda wa Kamanda Muzembe.
A l’avantage que cela mettra à mal les sbires des services spéciaux de la Police Nationale Congolaise qui auront maille à faire d'odieux montages pour brouiller les pistes.
Dans le cas de ce crapuleux assassinat du député provincial, la presse rd-congolaise semble s’être trop empressée de lécher les bottes d’un homme qui se sent morveux, croient d'analystes criminologues, les faits et gestes de celui qui détient les moyens et la plénitude de l'action publique au Kongo Central laissant entrevoir qu’il se ferait mauvaise conscience.
Loin d’user des réserves d’usage dans un dossier aussi sensible, les bonnes consciences n’ont pas compris qu’il y ait dans le chef de Jean-Claude Vuemba, député provincial élu de Kasangulu, de précoces envolées oratoires sur les ondes de Radio France Internationale , qualifiant l’horrible assassinat, de « crime politique », pointant malicieusement son doigt accusateur en direction des ennemis de son gourou sieur le gouverneur déchu.
Les enfants ayant affirmé que les assaillants étaient « des bandits armés et cagoulés » et qu’il leur était impossible de les reconnaître, des observateurs ont été sidérés d'entendre RFI soutenir que les mêmes enfants auront reconnu l’un des assaillants revenu au matin.
Tandis que là où il est fait également état dans un premier temps de « l’arme abandonnée par les mêmes assaillants », la même chaîne française de clamer que les enfants se seraient disputés avec eux pour récupérer l'arme.
Et qu'en sus de la même arme récupérée par la police criminelle ou par le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Intérieur sieur Mandiangu, RFI, d'alléguer pour des raisons qui lui seraient propres, que le Directeur de Cabinet du gouverneur injustement mis en cause (sans doute par RFI) qu'il se trouvait lui, au moment de la récupération de l'arme, à la Morgue au moment où certains le pointaient revenu sur le lieu du crime.
Et lorsque sur les réseaux sociaux, d'aucuns affirment que l’un des assaillants aurait été arrêté, c’est encore le Conseiller politique du Cabinet du gouverneur Murphy Lutete qui démentira aussitôt, affirmant que *contrairement à ce qui se raconte (sic) dans les réseaux sociaux, aucun assassin de l’honorable Nsimba est appréhendé, les enquêtes sont en cours*!
Entre-temps, le Rapporteur adjoint de l’Assemblée Provinciale l’honorable Billy Ntunga s’activera lui de son côté, aux fins des dispositions programmatiques pour l’enterrement du défunt, sans en référer à l’autorité de la chambre législative.
Patatras, la presse se voit mise à contribution, toute celle au service servile du gouverneur déchu Cyprien ATOU MATUBUANA NKULUKI, sinon à ses ordres, en échange d’espèces sonnantes et trébuchantes, avec en boucle des reportages alambiqués et triviaux qui parlent des révélations qui auraient été faites par des « féticheurs » consultés par les enfants du De cujus à Mbetenge, localité dans le Territoire de Madimba, selon lesquelles le Policier arrêté *qui ne l’était pas selon le Conseiller politique* serait sur le point de donner l’identité du vrai commanditaire.
Le 18 Août 2020, « Scooprdc.net » tenu par Innocent Olengha, professionnel qui a pourtant fait ses preuves à la respectable Radio onusienne Okapi franchit le Rubicon se livrant en des termes sibyllins inacceptables, sans aucun respect vis-à-vis de ses lecteurs en écrivant:
Si scientifiquement l’on ne sait pas croire aux effets des fétiches, mais il faut dire selon les informations parvenues à scooprdc.net, que le fils du défunt s’était rendu dimanche 16 août au village de Mbetenge dans le territoire de Madimba pour que les voyants lui montrent les personnes qui ont tué son père. Il a rencontré séparément trois qui lui ont donné le même message : « rentre calmement à Matadi, la personne qui a tiré sur ton père, viendra se livrer elle-même et fera des aveux ».
Et d’insinuer, sans aucune preuve probante que « l’assassinat du député Albert Nsimba coïncide avec certaines circonstances qui poussent à des suspicions dans le camp Matusila ». Voilà qui pourrait lui valoir, selon nos sources, une plainte méritée !
Scooprdc.net qui évoque l' audio d’un zinzin non autrement identifié sous le pseudonyme de G8 , lui révélerait, professionnel de son état, que les proches de Matusila auraient confié qu’il y aurait des morts en cascade dans l’entourage de Cyprien ATOU MATUBUANA NKULUKI.
Que la presse se ravale à ce point est une honte pour les chevaliers de la plume que nous sommes, supposés être des modèles porteurs des valeurs morales dans la société.
Se faire complice d'aussi exécrables « boutiquâtes » du Cabinet du gouverneur qui mieux que quiconque sait d’où vient le mal, est une démarche indigne de la corporation journalistique.
Ce qui n'est pas sans rappeler le jeu auquel s’était livré Tryphon Kin-Kiey Mulumba qui, au lendemain de l’assassinat de Floribert Chebeya, avait noirci des pages entières de son journal Le Soft pour innocenter malencontreusement celui que l’on considérait jusqu’à preuve du contraire comme étant le vrai commanditaire, à savoir le Général John Numbi Banza Tambo.
Tout comme le théâtre auquel s’était livré jadis l’élu du MLC l’honorable Yves Kisombe, au terme de l’enquête de l’Assemblée Nationale sur les massacres des adeptes de Bundu dia Kongo, saluant avec emphase les prouesses et la bravoure des généraux Raüs Chalwe, Kalume et Bisengima mis en cause.
La presse ne peut faire fi de la vie de ses semblables, au nom de quelques billets de banque. Car ce qui est arrivé au député provincial, peut l’être pour tout le monde, dans un pays Soi-disant « Etat de droit », où l’impunité et la non application des lois sont devenues la règle.
Et lorsque des hommes et des femmes, loin d’exiger une enquête sérieuse sur l’assassinat de trop, d’un père de famille, optent en lieu et place d'un dialogue aux contours flous, la presse, en tant que quatrième pouvoir doit prendre son courage à deux mains pour implémenter les débats de société afin que les textes des lois de la République soient respectés et appliqués dans toute leur rigueur. Surtout lorsqu’un tel dialogue est initié par des hommes n’ayant aucune qualité pour le faire !
La poudre de Perlimpinpin signée Sa Majesté Mfumu Bols Difima
Un vrai-faux Chef coutumier, a-sexiste ou bi-sexiste s'il en est, et il est bon que la presse au service de l'olibrius le sache, roitelet sans royaume se prévalant d'aucune famille régnante connue, sinon frauduleusement, par usurpation, lorsque ce n'est par vagabondage sur les terres successives de Luila, de Kasangulu et/ou de Kimwenza.
Et si l’on n'y prend garde, il pourrait se retrouver, curateur aux successions averti, sur les plateaux de Teke-Humbu,à Mbankana,à Menkao,peut-être jusquaux confins de Bukanga-Lonzo.
Désavoué depuis 2015 par l'ancien Ministre d'État à la Décentralisation et aux Affaires Coutumières Salomon Banamuhere, puis par son successeur Guy Mikulu pour usurpation des titres et qualités, sans aucun droit de port d'insignes, armoiries et autres oripeaux, il a depuis été radié de l' Alliance Nationale des Autorités Traditionnelles du Congo. Il lui était même formellement interdit de s' en prévaloir sur le Kongo Central, son Arrêté, annulé depuis, faisant foi .
Mégalomane qui ne vit que de trafic d'influence, prétentieux outrecuidant, ainsi « totalement humilié » sans aucune plume de chef coutumier à faire valoir,il affirme à qui veut l'entendre,se faisant ceinturer par des courtisans à la cour du roi Pétaud « Tyty Espoir Kuangilalele » et l' *empoisonneur en chef sieur le tristement célèbre *directeur « Fils Lakula », tous Bayombe Gauche, qu'il est le plus proche confident du Chef Spirituel Kimbanguiste Simon Kimbangu Kiangani,lorsqu'il ne dîne pas avec le Chef de l' Etat sortant en personne.
Aujourd'hui, il ne jure plus que par « selon la volonté du Chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo » à qui il promettait -si tant est qu'il l'aurait reçu, le traitement prophylactique de la Covid-19 à base du sel traditionnel dit « mungwa ya basenzi ».
Il est temps que notre « Ordre » corporatiste reprenne ses lettres de noblesse par un exercice à décliner en toute objectivité, dans l’impartialité. Plutôt que de se faire honteusement « couper » la conscience pour des miettes qui déshonorent toute la profession. Eugène Ngimbi MabedoLa presse a foulé aux pieds toutes les règles du noble art. Quatrième pouvoir dans toutes les démocraties, la presse rdc-Congolaise a failli dans sa mission, jetant aux pourceaux toutes les règles déontologiques de bonne moralité, prenant parti sans aucune responsabilité du camp de celui qui visiblement les ameuterait à qui mieux mieux, se sentant pris dans un nouveau scandale où il ne s’agirait plus de sextape dont il est le commanditaire incontesté, mais d'une mort d’homme. « Coupages » quand tu nous tiens!
Le ci-devant député provincial, siégeant comme suppléant du gouverneur déchu, Albert Nsimba Sukami Nzunzu président du groupe parlementaire PPRD assassiné, en pleine nuit devant toute sa famille, par des hommes cagoulés envoyés pour assouvir les desseins funestes d’un commanditaire Proconsul devant dieu le fils et dieu le père spirituel et devant qui rien ni personne ne peuvent tenir. Mais qui diantre l'aura fait dieu ?
Lorsque meurt à Kinshasa début juin 2010 le célèbre Secrétaire Exécutif de la Voix des Sans Voix Floribert Chebeya Bahizire d’illustre mémoire dans les locaux de l’Inspection Générale de la Police Nationale Congolaise à Lingwala, Secret de Polichinelle on s’en souvient, l’alerte est lancée en prime par le tonitruant correspondant de Radio France Internationale, Baudouin Kamanda wa Kamanda Muzembe.
A l’avantage que cela mettra à mal les sbires des services spéciaux de la Police Nationale Congolaise qui auront maille à faire d'odieux montages pour brouiller les pistes.
Dans le cas de ce crapuleux assassinat du député provincial, la presse rd-congolaise semble s’être trop empressée de lécher les bottes d’un homme qui se sent morveux, croient d'analystes criminologues, les faits et gestes de celui qui détient les moyens et la plénitude de l'action publique au Kongo Central laissant entrevoir qu’il se ferait mauvaise conscience.
Loin d’user des réserves d’usage dans un dossier aussi sensible, les bonnes consciences n’ont pas compris qu’il y ait dans le chef de Jean-Claude Vuemba, député provincial élu de Kasangulu, de précoces envolées oratoires sur les ondes de Radio France Internationale , qualifiant l’horrible assassinat, de « crime politique », pointant malicieusement son doigt accusateur en direction des ennemis de son gourou sieur le gouverneur déchu.
Les enfants ayant affirmé que les assaillants étaient « des bandits armés et cagoulés » et qu’il leur était impossible de les reconnaître, des observateurs ont été sidérés d'entendre RFI soutenir que les mêmes enfants auront reconnu l’un des assaillants revenu au matin.
Tandis que là où il est fait également état dans un premier temps de « l’arme abandonnée par les mêmes assaillants », la même chaîne française de clamer que les enfants se seraient disputés avec eux pour récupérer l'arme.
Et qu'en sus de la même arme récupérée par la police criminelle ou par le Directeur de Cabinet du Ministre de l’Intérieur sieur Mandiangu, RFI, d'alléguer pour des raisons qui lui seraient propres, que le Directeur de Cabinet du gouverneur injustement mis en cause (sans doute par RFI) qu'il se trouvait lui, au moment de la récupération de l'arme, à la Morgue au moment où certains le pointaient revenu sur le lieu du crime.
Et lorsque sur les réseaux sociaux, d'aucuns affirment que l’un des assaillants aurait été arrêté, c’est encore le Conseiller politique du Cabinet du gouverneur Murphy Lutete qui démentira aussitôt, affirmant que *contrairement à ce qui se raconte (sic) dans les réseaux sociaux, aucun assassin de l’honorable Nsimba est appréhendé, les enquêtes sont en cours*!
Entre-temps, le Rapporteur adjoint de l’Assemblée Provinciale l’honorable Billy Ntunga s’activera lui de son côté, aux fins des dispositions programmatiques pour l’enterrement du défunt, sans en référer à l’autorité de la chambre législative.
Patatras, la presse se voit mise à contribution, toute celle au service servile du gouverneur déchu Cyprien ATOU MATUBUANA NKULUKI, sinon à ses ordres, en échange d’espèces sonnantes et trébuchantes, avec en boucle des reportages alambiqués et triviaux qui parlent des révélations qui auraient été faites par des « féticheurs » consultés par les enfants du De cujus à Mbetenge, localité dans le Territoire de Madimba, selon lesquelles le Policier arrêté *qui ne l’était pas selon le Conseiller politique* serait sur le point de donner l’identité du vrai commanditaire.
Le 18 Août 2020, « Scooprdc.net » tenu par Innocent Olengha, professionnel qui a pourtant fait ses preuves à la respectable Radio onusienne Okapi franchit le Rubicon se livrant en des termes sibyllins inacceptables, sans aucun respect vis-à-vis de ses lecteurs en écrivant:
Si scientifiquement l’on ne sait pas croire aux effets des fétiches, mais il faut dire selon les informations parvenues à scooprdc.net, que le fils du défunt s’était rendu dimanche 16 août au village de Mbetenge dans le territoire de Madimba pour que les voyants lui montrent les personnes qui ont tué son père. Il a rencontré séparément trois qui lui ont donné le même message : « rentre calmement à Matadi, la personne qui a tiré sur ton père, viendra se livrer elle-même et fera des aveux ».
Et d’insinuer, sans aucune preuve probante que « l’assassinat du député Albert Nsimba coïncide avec certaines circonstances qui poussent à des suspicions dans le camp Matusila ». Voilà qui pourrait lui valoir, selon nos sources, une plainte méritée !
Scooprdc.net qui évoque l' audio d’un zinzin non autrement identifié sous le pseudonyme de G8 , lui révélerait, professionnel de son état, que les proches de Matusila auraient confié qu’il y aurait des morts en cascade dans l’entourage de Cyprien ATOU MATUBUANA NKULUKI.
Que la presse se ravale à ce point est une honte pour les chevaliers de la plume que nous sommes, supposés être des modèles porteurs des valeurs morales dans la société.
Se faire complice d'aussi exécrables « boutiquâtes » du Cabinet du gouverneur qui mieux que quiconque sait d’où vient le mal, est une démarche indigne de la corporation journalistique.
Ce qui n'est pas sans rappeler le jeu auquel s’était livré Tryphon Kin-Kiey Mulumba qui, au lendemain de l’assassinat de Floribert Chebeya, avait noirci des pages entières de son journal Le Soft pour innocenter malencontreusement celui que l’on considérait jusqu’à preuve du contraire comme étant le vrai commanditaire, à savoir le Général John Numbi Banza Tambo.
Tout comme le théâtre auquel s’était livré jadis l’élu du MLC l’honorable Yves Kisombe, au terme de l’enquête de l’Assemblée Nationale sur les massacres des adeptes de Bundu dia Kongo, saluant avec emphase les prouesses et la bravoure des généraux Raüs Chalwe, Kalume et Bisengima mis en cause.
La presse ne peut faire fi de la vie de ses semblables, au nom de quelques billets de banque. Car ce qui est arrivé au député provincial, peut l’être pour tout le monde, dans un pays Soi-disant « Etat de droit », où l’impunité et la non application des lois sont devenues la règle.
Et lorsque des hommes et des femmes, loin d’exiger une enquête sérieuse sur l’assassinat de trop, d’un père de famille, optent en lieu et place d'un dialogue aux contours flous, la presse, en tant que quatrième pouvoir doit prendre son courage à deux mains pour implémenter les débats de société afin que les textes des lois de la République soient respectés et appliqués dans toute leur rigueur. Surtout lorsqu’un tel dialogue est initié par des hommes n’ayant aucune qualité pour le faire !
La poudre de Perlimpinpin signée Sa Majesté Mfumu Bols Difima
Un vrai-faux Chef coutumier, a-sexiste ou bi-sexiste s'il en est, et il est bon que la presse au service de l'olibrius le sache, roitelet sans royaume se prévalant d'aucune famille régnante connue, sinon frauduleusement, par usurpation, lorsque ce n'est par vagabondage sur les terres successives de Luila, de Kasangulu et/ou de Kimwenza.
Et si l’on n'y prend garde, il pourrait se retrouver, curateur aux successions averti, sur les plateaux de Teke-Humbu,à Mbankana,à Menkao,peut-être jusquaux confins de Bukanga-Lonzo.
Désavoué depuis 2015 par l'ancien Ministre d'État à la Décentralisation et aux Affaires Coutumières Salomon Banamuhere, puis par son successeur Guy Mikulu pour usurpation des titres et qualités, sans aucun droit de port d'insignes, armoiries et autres oripeaux, il a depuis été radié de l' Alliance Nationale des Autorités Traditionnelles du Congo. Il lui était même formellement interdit de s' en prévaloir sur le Kongo Central, son Arrêté, annulé depuis, faisant foi .
Mégalomane qui ne vit que de trafic d'influence, prétentieux outrecuidant, ainsi « totalement humilié » sans aucune plume de chef coutumier à faire valoir,il affirme à qui veut l'entendre,se faisant ceinturer par des courtisans à la cour du roi Pétaud « Tyty Espoir Kuangilalele » et l' *empoisonneur en chef sieur le tristement célèbre *directeur « Fils Lakula », tous Bayombe Gauche, qu'il est le plus proche confident du Chef Spirituel Kimbanguiste Simon Kimbangu Kiangani,lorsqu'il ne dîne pas avec le Chef de l' Etat sortant en personne.
Aujourd'hui, il ne jure plus que par « selon la volonté du Chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo » à qui il promettait -si tant est qu'il l'aurait reçu, le traitement prophylactique de la Covid-19 à base du sel traditionnel dit « mungwa ya basenzi ».
Il est temps que notre « Ordre » corporatiste reprenne ses lettres de noblesse par un exercice à décliner en toute objectivité, dans l’impartialité. Plutôt que de se faire honteusement « couper » la conscience pour des miettes qui déshonorent toute la profession. Eugène Ngimbi Mabedov